Spectacles au Parc Achille-Trahan

  Rétrospective 2007

Vivement le bouche à oreilles

 

Les spectacles de l’été 2007 ne demeureront pas oubliés.

 

En cliquant sur le lien « Le regard de Guy Sylvestre », vous avez accès à plusieurs photos des spectacles de l’été 2007 ainsi qu’à un compte-rendu de chacun des spectacles.

 

Bravo à Guy et à notre webmaster Paul Carbonneau qui sont à créer un « album de familles » communautaire à voir et à revoir.

 

Mission accomplie pour Daniel Rocheleau qui nous a concocté une série de spectacles plus qu’impressionnante, à la hauteur de ce que méritent les belles installations du Parc Achille-Trahan.

 

Les Petits Chanteurs de Trois-Rivières, La Criée, Bob Champoux House Band, Subcollision, Tricot machine, Le P’Ti-Ben, Urbain Desbois, Danny Placard, Trois Quatre, voilà une programmation variée, solide, offerte gratuitement, pour votre bon plaisir.

 

Une pensée pour nos travailleurs dans l’ombre, Valérie Desaulniers et Stéphane Buisson qui ont assumé l’organisation des lieux avant… et après les spectacles.

 

Le plus difficile reste à faire. Pour ceux qui ont assisté aux spectacles, merci de votre présence. Votre bouche à oreilles demeure le meilleur élément de publicité.

 

Pour les autres, un spectacle par un après-midi ou un soir d’été n’est-il pas une belle occasion de vivre un beau rassemblement communautaire ?

 

À l’an prochain !

 

 

Trois Quatre

 

 

Par un ciel un peu gris de septembre et un petit vent, ce n’est pas au froid que nous avions affaire mais bien aux frissons car dès la première chanson, les gars de Trois Quatre nous ont fait frémir de plaisir.

 

Quelle incroyable entrée en matière avec une chanson, que dis-je une chanson, avec ce que la musique peut apporter de mieux : 8 voix magnifiques, en parfaite harmonie, qui mettaient déjà la barre très haute pour le reste du spectacle.

 

Un spectacle A Capella, sans instrument de musique, sauf un clavier pour donner la note de départ pour quelques chansons, ce n’est pas très évident au départ.

 

Et puis 8 chanteurs, ce n’est pas fréquent 8 chanteurs, je me souviens des entrevues de Rock & Belles Oreilles qui, au début de leur carrière, disaient qu’ils ne vivaient pas richement parce qu’ils étaient nombreux et les cachets bien petits…

 

Mais bref, tout n’est pas qu’argent dans la vie : nous étions en présence de belles amitiés, des petits moments de bonheur vécus par de véritables passionnés.

 

Entendons-nous bien, Trois Quatre, ce n’est pas une chorale, c’est un Boys Band, un trip de 8 joyeux chanteurs qui s’obligent à la performance avec un plaisir certain… et ça paraît !!!

 

Côté spectaculaire, comment ne pas remarquer ces deux voix de basse, atteignant des notes abyssales soutenues et pourtant… pourtant… on distinguait chacun des mots bien clairement… sans signe d’effort… combien de fois entendons-nous des basses qui semblent forcer leur voix.

 

J’avais à mes côtés deux gars qui ont passé leur vie à chanter dans des mariages, festivals, carnavals, mettez-en… ils ont tout fait. Je les ai vus totalement ébahis dès le départ car dites-vous bien que nos 8 chanteurs n’ont ni directeur, ni véritable point de repère que d’être à l’écoute les uns des autres.

 

8 solistes en parfaite harmonie laissant deviner ou une longue culture musicale de même source ou des heures et des heures de pratique. Sûrement les deux et pourtant, il y avait bien quelques sauts de génération, Breen Leboeuf  est de la déjà lointaine époque d’Offenbach alors qu’il y avait à l’extrémité gauche un jeune d’à peine 20 ans.

 

Que le Breen Leboeuf chanteur d’ailleurs, pas le Breen Leboeuf baseman, il serait pourtant facile de mettre l’accent sur son côté vedette mais ce serait mal connaître nos 8 comparses. « Un pour tous, tous pour un » comme le faisait dire Alexandre Dumas à ses quatre mousquetaires.

 

À droite, deux basses profondes, puis à gauche, deux hautes voies, entourant deux ténors et deux barytons.

 

D’une chanson à l’autre, on voyait la foule subjuguée, tout le monde ayant un grand sourire autant suite aux commentaires que par les performances et les jeux de scène, les mimiques et surtout… surtout… tous se demandaient mais comment ils font ça ? Tous à leurs micros et pourtant, tous si en harmonie, tous si liés, tous si unis, rendant avec aisance des arrangements difficiles et exigeants.

 

On l’a dit, les gars se sont mis la barre haute dès le départ et d’une chanson à l’autre, les spectateurs s’attendaient toujours à les voir sortir leurs cahiers de partition ou encore un meneur de chant.

 

Mais non, que du par cœur, avec quelques chansons à très haut niveau de difficultés, comme ce medley sur Brassens où il faut toute une culture musicale de chacun des 8 gars pour donner une telle performance.

 

Pas de leader, donc quelques actes d’humilité par chacun d’entre eux, devant se sacrifier à un ensemble, devant se fondre en une seule énergie, du soupir à l’éclatement des voix.

 

Je n’ai pas vu personne de la foule bavarder avec son voisin, aucun enfant en avant de la scène se lever, aucun promeneur de groupes en groupes, on voyait que les gens appréciaient réellement le spectacle, ce qu’ils n’ont pas manqué de signifier, la foule se méritant d’ailleurs un rappel à la hauteur de ses attentes.

 

Un spectacle fort exigeant pour les chanteurs mais je vous l’ai déjà dit, les spectateurs profitent d’une belle sonorité, on voyait bien que les chanteurs savaient se servir d’un micro, on voyait bien qu’ils n’avaient pas à forcer leur voix.

 

Parmi la foule, plusieurs connaisseurs : Claire Bisaillon de la Maîtrise du Cap, Louis Gélinas de la Criée, Benoit Rocheleau alias Le P’ti Ben et Bob Champoux, ces trois derniers s’étant, quelques semaines auparavant,  produits au Parc Achille-Trahan. Puis, malgré ses nombreuses obligations, le rédacteur de « Ça parle au diable », André Lamy, présent tout au long du spectacle.

 

Une foule d’ailleurs très participative qui ne s’est pas fait prier pour embarquer dans le jeu des chanteurs.

 

Et puis, joie suprême, les chanteurs qui se promenaient tout bonnement parmi les gens après le spectacle, partant avec les derniers spectateurs, en véritables ambassadeurs de la musique.

 

Je demeure toutefois stupéfait de ce spectacle unique, ( ils sont sûrement les seuls à pouvoir performer ainsi avec de tels arrangements) en me répétant la question : comment font-ils ? Comment peuvent-ils trouver le temps de pratiquer à 8, imaginez les problèmes quand il manque ou les basses, ou les ténors, ou les barytons ou les hautes voix !!! On imagine les gars, lors des pratiques,  traversant un silence en se disant, en plein milieu d’une chanson : ça, c’était le « boutte » des hautes voix…

 

Et bien messieurs, dites-vous bien que les gens réunis en ce bel après-midi du 9 septembre 2007 au Parc Achille-Trahan ont grandement savouré et que ce serait inconvenant de ne pas tout mettre en place pour vous réinviter à Yamachiche à l’été 2008.

 

 

Retour sur les récents spectacles :

 

Urbain Desbois/Danny Placard/P’ti-Ben

 
Soir de pluie, juste pour agacer, juste pour se demander si la soirée se terminera bien, ce qui fut heureusement le cas.

Une belle assistance de 300 personnes, notamment les parents et enfants de soccer qui célébraient, en ce samedi 25 août, leurs remises de médailles à leur party de fin d’année. De quoi créer toute une ambiance, plusieurs jeunes étant assis dans les marches, aux pieds des musiciens qui n’en revenaient pas de l’accueil des gens d’Yamachiche.

Soirée « compositeurs » également car toutes les chansons étaient des textes des musiciens en place, sauf un clin d’œil à Plume Latraverse, le temps d’une chanson mais là encore, les arrangements étaient si bien réussis pour ce « mouton noir » que le berger lui-même en serait ravi.

Trois spectacles pourtant bien différents avec un Benoit Rocheleau ultra-performant puisqu’il a joué les 3 shows, ce qui représente tout de même un bon 3 heures de musique.

Le P’Ti-Ben, c’est un multi-instrumentiste, avec plein d’instruments tout autour de lui, le genre à ramasser un bout de bois creux, à y percer quelques trous et à vous interpréter la 5e de Beethoven tout en tapant sur quelque chaudière vide pour le rythme.

On exagère, à peine…

Comme une pieuvre à 8 bras, Benoit Rocheleau joue d’un instrument, l’enregistre, puis d’un autre, l’enregistre, puis quelques autres, les enregistre et avec chacune des « tracks », joue ensuite la chanson,  au grand étonnement des gens qui le croient finalement capable de tout.

Beaucoup d’émerveillement pour les enfants et beaucoup d’émotion pour les plus grands, particulièrement avec une chanson écrite suite à la naissance de son nouveau fiston, fraîchement composée la semaine dernière, rendue avec beaucoup de fierté.

Un artiste fort généreux d’ailleurs que ce Benoit qui a fait de nombreux liens, tout au long de son spectacle, avec les deux autres shows à venir.

 

Urbain Desbois, c’est ce monsieur que vous remarquez dans une foule, avec sa tenue vestimentaire d’artiste, filant au gré des nouvelles rencontres, tout entier à l’écoute autant du premier spectacle que du spectacle qui suivra sa prestation.

Accompagné du P’tit Ben, ce créatif Urbain Desbois, véritable démiurge de la chanson québécoise, s’enlise dans la poésie avec l’âge.

Le public était évidemment conquis, on s’en doute, pas ses jeux de mots.  Poète bouffon, pouvant s’égarer dans de folles subtilités ou des allusions plus que terre-à-terre… Urbain Desbois déplace de l’air, du son et des mots dans un tourbillon musical  dans lequel son accompagnateur d’un soir, le P’tit Ben, naviguait à l’aise, aussi incroyable que celui puisse paraître.

Urbain Desbois a fait beaucoup de références à Yamachiche, en véritable complice de son public d’un soir, public conquis à jamais.

  

Danny Placard, c’est  l’homme de toutes les musiques. Rock, folk, country, c’est l’espace d’une respiration qu’il passe d’un style à l’autre. L’ancien chanteur de la formation de Plywood ¾ s’amuse et amuse.

5 musiciens sur scène, dont notre P’tit Ben, avec Roger Hamel, un top québécois dans la gang, à moins que ce soit un sosie qui joue aussi magnifiquement que lui.

 

Spectacle trrrrrrrrrrrrrrrès animé, rappelons que c’était encore ici ses propres compositions, les gens ont beaucoup aimé.

 

Tel l’Ombre Sombre, Urbain Desbois en a profité pour « zyeuter » avec très grand intérêt le travail du P’tit Ben… décidément l’attraction de la soirée pour les jeunes qui n’en revenaient pas de le voir s’adapter à toutes les musiques.

 

Et Danny Placard ?

 

C’est à se demander comment une telle dynamo musicale peut rester aussi tranquille avant de livrer des performances aussi éclatées !!!

 

Toute une fête pour nos Rafales, parents, joueuses et joueurs ont eu un party  à la hauteur de leur saison de soccer.

 

Tricot machine

 

Août nous réserve parfois des soirs d’automne un peu frisquets qui demandent et du courage et des vêtements chauds pour se rendre à un spectacle sur une scène extérieure.

 

Pour demeurer river sur nos chaises pliantes en toile, ça prenait donc une performance attachante et croyez bien qu’aucune des 200 personnes présentes n’a même pensé quitter le Parc Achille-Trahan.

 

Un petit théâtre, comme le qualifiera la chanteuse de Tricot machine lors de son spectacle, mettant sûrement à l’aise les artistes d’autant plus ( eux ne le savent pas ) que la sonorité y est plus qu’excellente, on n’entendait même pas, ce soir du samedi 18 août, les véhicules qui passaient sur la route 138, à quelques mètres de la scène.

 

Et les gens étaient prêts, approchant leurs chaises dès l’annonce du show par Daniel Rocheleau.

 

Tricot machine, c’est d’abord un maniaque de musique, habile claviériste, ayant plus l’air d’un trippeux que du musicien traditionnel.

 

Puis vient une jeune femme qui, à prime abord, a tout à fait le look d’une faire-valoir; qui semble s’être habillée à la friperie du coin; qui, une fois sa tuque enlevée, pourrait faire rougir de jalousie Marge Simpson tant elle porte les cheveux hauts; mais qui a ce petit air espiègle, un peu comme l’actrice et chanteuse Isabelle Blais.

 

Et là, c’est tout en contrôle de son homme, de son art; de sa façon de raconter ce qu’elle vit et ce qu’elle chante, qu’elle en vient à charmer petits et grands.

 

Car tout au long des deux spectacles, autant devant la scène que dans le parc d’à côté, on entendait en bruit de fond le rire des enfants, ayant droit, à l’occasion, à la parade d’une enfant de 3 ans, s’éloignant de l’un de ses parents pour y revenir en courant.

 

Et les petites historiettes se succèdent, toutes aussi charmantes et envoûtantes les unes que les autres, si ce n’est d’une discordante poursuite en ambulance, chantée avec humeur par Matthieu, vite rappelé à l’ordre par notre charmeuse de foule.

 

Catherine aura su charmer par la simplicité et la justesse avec lesquelles elle raconte le fait le plus anodin qui soit en nous faisant boire ses paroles, comme cette marche du casse-croûte au Parc Achille-Trahan qu’elle raconte si drôlement, ( laissant entrevoir qu’elle se demandait bien comment une banque et une Caisse Pop pouvaient se côtoyer dans un petit village ), avec comme héros un chat ayant dans sa gueule un trophée à savourer, non pas un petit animal comme vous le soupçonnez mais un petit gâteau Vachon. De la pure folie d’une artiste qui vit bien ce qu’elle voit.

 

D’ailleurs la captivante Catherine, qui en a vu d’autres, on s’en doute, ne manquera pas de souligner le cachet de notre petit théâtre extérieur, se rappelant des camps d’été de sa jeunesse où de tels lieux de rassemblements existaient.

 

Là où le charme s’opère totalement, c’est lorsque après avoir exécuté un 540 degrés dans une danse aussi primesautière que celle des jeunes enfants de 3 ans, elle se tourne vers son Matthieu, avec un sourire complice et dévastateur, pour relancer des yeux son musicien et en anecdotes, et en transitions, et en musique et en chansons.

 

Les historiettes ensorcellent grâce à une écriture concise, précise, dépourvue d’artifices et une musique coulante.

 

Soirée féerique, soirée chouette et couette, toute en tricot machine.

 

Subcollisions

 

En première partie, 5 gars et 3 filles, dans un contexte un peu Café du monde avec un look surréaliste où il est permis de tripper seul sur son instrument dans un ensemble mini Big Band complètement dédié aux deux chanteuses.

 

D’abord le batteur, à sa toute dernière prestation avec le groupe, penché sur son tambour comme un potier, flattant doucement l’instrument comme s’il voulait créer un quelconque bibelot.

 

Puis la troisième fille, toute discrète, toute en serviabilité, mais qui possède une si belle prestance sur scène, toute belle avec sa flûte traversière.

 

Puis la chanteuse, assise sur son tabouret, toute emmitouflée sous une tonne de vêtements, avec un registre de voix très étendu ( allant du Rossignol à la sirène de paquebot ),  jouant de l’accordéon sous des chapeaux qui la dissimulaient plus encore.

 

Puis le joueur de trombone, qui y est allé d’un souffle, d’une simulation de vent qui démontrait bien sa dextérité.

 

Puis un guitariste qui, pendant que l’autre chanteuse jouait d’une guitare jouet, donnait l’impression, ( réelle ou pas ? ) que c’était lui qui touchait les cordes.

 

Puis un clarinettiste, tout aussi discret, tout aussi membre de l’équipage, rendant à bon port chacun des morceaux de musique.

 

Et cette immense contrebasse, avec son homme-araignée suspendu à ses cordes, faisant vibrer de son archet l’instrument jusqu’aux plus profondes abysses de son registre.

 

Le ton a été donné par la première chanteuse qui alternait avec l’autre chanteuse presque pour toutes les chansons, partageant le vedettariat du spectacle.

 

Un peu de français entre des chansons anglaises chantées dans un climat d’Irlande jazzé, un peu américanisé, avec des musiciens épris d’une autre langue, celle de la musique.

 

Des tons de Big Band surtout, avec un seul musicien par pupitre et sans directeur, un mini Big Band finalement…

 

Mais décidément un climat musical tout à fait surréaliste.

 

Comme la chanteuse l’a si bien dit elle-même: presque une mise en bouche pour le spectacle de Tricot machine !

 

Bob Champoux House Band


 

Une température un peu douteuse et un court orage n’ont pas empêché une foule d’au moins 500 personnes à assister au spectacle de Bob Champoux House Band.

 

Une ambiance endiablée, dynamisée par la guitare de Bob Champoux, un gars d’ici, et une foule participative ont pu apprécier la diversité des pièces, nous faisant revivre les nombreuses facettes du rock.

 

Plusieurs nostalgiques se sont retrouvés avec la reprise d’anciens succès qui semblent vouloir traverser les décennies.

 

Un moment fort a été l’interprétation par Michel Lamothe d’un succès d’une légende québécoise, son père Willie Lamothe.

 

Une heureuse surprise que la performance de François Ferron à la batterie qui, on le devine, devait avoir quelque peu le tract de performer devant les siens. Mission accomplie François, tout le monde n’en avait que pour tes baguettes magiques, les applaudissements retentissent encore de ton mémorable solo de batterie plus que spectaculaire.

 

Les trois musiciens ont eu un éclair de génie de s’associer à Marie-Claude Gagnon pour donner du vibrato au spectacle. De beaux reliefs vocaux par cette jeune artiste qui sait transcender les instruments par ses accompagnements, n’est-ce pas là, finalement, le véritable rock ?

La Criée

Le vendredi 22 juin, par un soir un peu frisquet, ce ne sont pas moins de 250 personnes qui ont mis une « petite laine » pour venir vibrer au son de musiques québécoise et folklorique, le tout teinté de l’humour décapant de Louis Gélinas et du violon endiablé de Lucie Noël, dynamisés par leurs comparses Yves Gélinas et René Clément.

Les gens n’ont pas manqué de nous signaler que le groupe La Criée doit nous revenir absolument à chaque année tant qu’ils auront de la musique au bout des doigts.

Beaucoup d’ambiance, une belle camaraderie en cette soirée qui s’intégrait bien aux festivités de la Fête Nationale du Québec.

Petits chanteurs de Trois-Rivières

Le dimanche 17 juin, c’était le premier anniversaire du Parc Achille-Trahan et qui de mieux que les Petits Chanteurs pour mettre toute l’ambiance voulue.

Le hasard fait souvent bien les choses, la Grande Virée du maire trifluvien passait justement en face du Parc Achille-Trahan et on peut s’imaginer la surprise des cyclistes d’entendre de telles voix sur leur passage, certains ne résistant pas à l’envie d’entendre une ou deux chansons malgré le long défi qui les attendait. Ils ont donc ramené vers Trois-Rivières de belles mélodies cueillies à Yamachiche.

 

Le rappel du concert a été particulièrement apprécié puisque le thème des Petits Chanteurs « Chante à plein cœur » est tiré d’un poème de Nérée-Beauchemin. Un moment magique !

Nuls doutes que les Petits Chanteurs reviendront à Yamachiche !

 

Tam-Tam

Après un début plus que chancelant avec la Tournée Jam Van organisé par les travailleurs de rue de la MRC de Maskinongé, la question était à savoir si un jam de tam-tam était réellement approprié.

C’était sans compter sur le dynamisme de nos bénévoles de la bibliothèque qui, à peine quelques jours plus tard, affichaient COMPLET pour le cours d’apprentissage au tam-tam qu’elles offraient…un atelier qu’elles ont même répétées devant l’engouement des participants.

Bravo à nos bénévoles de la bibliothèque pour ce succès de participation, qui s’est réalisé dans le plaisir, comme elles savent toujours le faire.

 

Merci à vous

Qui contribuez

Par votre présence

À cette mise en place culturelle

À Yamachiche

 

 

 

 

 

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