Le Nouvelliste 27 novembre 2001
                              

OPINION

Le plan de Michel Delamarre

Jocelyne Gélinas
Yamachiche

 

En réaction aux articles du Nouvelliste du 3 novembre et de l'Écho du 4 novembre concernant le directeur général, M. Michel Delamarre.

Il s'en va à l'Hôtel-Dieu d'Arthabaska parce que ça fait partie de son plan de carrière. Tout comme la fermeture du Foyer Ernest-Jacob en faisait partie. Et comme il l'a dit si bien dans l'article: "...même si on savait les impacts sur les personnes."

Entre les lignes, c'est comme s'il disait: peu importe le prix que le milieu aura à payer en autant que j'atteins mon objectif; un coup qui paraît bien pour ma carrière.

Il a le culot de dire qu'il a supporté une décision du conseil d'administration alors que c'est lui qui a tout fait pour le convaincre de fermer.

Sa déclaration dans l'Écho est d'un ridicule indescriptible dans l'histoire du Foyer Ernest-Jacob. Je cite: "J'ai toujours tenté de fonctionner avec une approche participative qui demandait l'implication de tous les niveaux avec un seul but en tête; satisfaire la clientèle." Chez nous, il s'est foutu de l'opinion du milieu et de la clientèle existante et à venir pour arriver à ses fins.

La simple vue du nom Michel Delamarre fait ressurgir en moi de la colère et est synonyme de carriériste. Prenez le temps de lire la définition dans le dictionnaire.

L'organisation de l'Hôtel-Dieu d'Arthabaska est axée sur la clientèle. J'espère que cet objectif fait partie de son plan de carrière sinon ça va faire mal.

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