L'Écho 31 octobre 2013


«J'ai toujours été honnête et intègre, je ne comprends pas M. Quintal», Guy Richard

 

 

© Photo, Pier-Olivier Gagnon

Guy Richard est mécontent de voir que François Quintal s'en prend à son intégrité, dans un moment jugé stratégique par le maire, tout juste avant les élections.

 

Pier-Olivier Gagnon

 

Le maire de Louiseville donne sa version des faits

Après avoir pris connaissance des déclarations du propriétaire de la Halte 174 concernant le développement commercial Carrefour Mauricie situé à proximité de l'autoroute 40 à Louiseville, le maire Guy Richard est déçu et mécontent des allégations de François Quintal, qui selon lui sont basées sur des informations inexactes.

 

Or, le délai de deux mois demandé par la Ville aurait pu être allongé si la demande avait été faite. «C'est certain que si monsieur Quintal avait communiqué avec nous et qu'il avait mentionné qu'il n'avait pas assez de temps pour répondre à l'appel d'offres dans les délais exigés, nous aurions pu réviser notre délai», raconte Guy Richard.

 

Dès le début du projet, le maire de Louiseville avait en tête d'obtenir le terrain des mains du ministère des Transports pour faire du développement en ayant une vision générale et pour ne pas nuire aux restaurateurs et commerçants de la région.

 

D'ailleurs, avec l'offre de restauration que cette sortie d'autoroute aura d'ici quelques années, le maire de Louiseville croit que ce sera le plus bel endroit entre Montréal et Québec via l'autoroute 40 pour s'arrêter sans avoir de contraintes et avoir le meilleur choix possible de restaurants.

 

Un appel d'offres public

La ville de Louiseville aurait très bien pu vendre le terrain de gré à gré. Toutefois, elle a plutôt décidé d'aller en appel d'offres public afin d'offrir la possibilité au plus grand nombre de gens de proposer leur projet de développement commercial. «J'ai toujours été honnête et intègre, je ne comprends pas monsieur Quintal. Nous avons fait appel à notre firme d'avocats pour tous les aspects du dossier y compris l'appel d'offres afin de faire les choses d'une bonne façon. Nos employés à la ville ont également travaillé en ce sens, alors nous n'avons rien à nous reprocher», confirme le maire qui a préféré obtenir l'aide de professionnels pour s'assurer du bon déroulement du dossier puisque la ville n'est pas habituée sur ce genre de projet plus complexe que pour la réfection de routes, par exemple.

 

Plus de détails à lire dans l'Écho du 6 novembre 2013.

 

 

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