FIN DE LA CHRONIQUE

 

                                                                   Texte de Michel Bourassa

Après 630 textes dans la chronique sur le lac Saint-Pierre sur le site de municipalité Yamachiche, soit ce dit site, le temps est venu d’y mettre un terme. Cette chronique a débuté en mai 2004, ceci à la demande des deux Paul, soit Paul Desaulniers, directeur-général de la municipalité (maintenant décédé) et Paul Carbonneau, responsable du site internet de la municipalité. Je les remercie de leur entière confiance à mon égard, ce pour le choix des sujets et de leur longueur, facilitant grandement cette agréable tâche. Je remercie aussi tous ceux et celles qui m’ont encouragé à poursuivre cette chronique tout en me donnant quelques sujets à développer.

 

Il y a plusieurs personnes à remercier depuis les débuts jusqu’à aujourd’hui et vous les connaîtrez en consultant les textes suivants :

052 Un an

157 Troisième anniversaire, Main mise

520 10 ans de la chronique

420 Ambassadeur pour Yamachiche

 

Il y a aussi les collaborateurs des récents textes, surtout André Desaulniers et quelques autres, qui ont fourni des photos pour agrémenter lesdits textes.

 

En terminant, je remercie encore une fois Paul Carbonneau qui a toujours été au rendez-vous lors de chacun de mes envois pour le site de la municipalité Yamachiche et la municipalité de Yamachiche pour m’avoir donné la chance de parler du lac Saint-Pierre, de l’histoire sportive et récréative de notre localité, de la Pointe-Yamachiche et sa passerelle (maintenant les deux connues par tous les clubs d’ornithologie de la province et même d’ailleurs). Divers autres sujets ont été traités et le texte 629, Thèmes de la chronique, vous aidera à mieux trouver vos points d’intérêts.

 

Un petit cadeau d’un bref rêve suit ces lignes.

 

 À la prochaine.

            

 

                                                             Cardinaux ou roses

 

               À la dernière heure de la noirceur accompagnant ce matin du 29 décembre 2016, une image hivernale s’infiltre dans mon subconscient lors de mon sommeil et me présente un splendide sapin d’au moins quatre mètres des plus verdoyants, lequel est entouré d’une neige ayant la blancheur que les aléas de la vie n’ont pas encore altérée.

 

Ce sapin vert est déjà décoré de deux pointes rouges, empruntant chacune l’apparence de celle d’une flèche et distancée l’une de l’autre d’un mètre. La magie s’opère lorsque la pointe supérieure, la plus dégagée, montre cinq oiseaux rouges à chacun de ses côtés, tels des Cardinaux rouges, surtout lors d’un léger mouvement des plus coordonnés de  chacun à la partie suggérant leur tête.

 

Par contre, la fléchée pointe inférieure, en symétrie avec celle du haut, est quelque peu encastrée dans les rameaux du conifère et semble montrer à chacun de ses flancs, des roses rouges dans une certaine rondeur, laquelle est seulement trahie par des esquisses de pétales de chaque corolle. 

 

Cette beauté de la nature dans cette lente métamorphose se termine hélas trop vite par le réveil, mais son souvenir va heureusement demeurer longtemps dans ma mémoire.